Une voie de détection post-ingestive du sucre, mettant en jeu l’axe intestin-cerveau, serait essentielle au développement de l’attirance pour le sucre. Non activée par les édulcorants, elle expliquerait que ces derniers trompent le goût mais pas l’envie. Même dépourvus de récepteurs du goût sucré, les animaux sont attirés par le sucre, ce qui suggère un mécanisme indépendant du goût que …
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